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Circuit de Proximité

27 mars 2023

Conclusion : Circuit Court

Les circuits courts suppriment ou limitent les intermédiaires. Ils renforcent la confiance avec la traçabilité des produits, soutient des produits locaux et de saison et assurent un juste prix tant pour les producteurs et productrices que pour les consommateurs...
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27 mars 2023

Introduction : Circuit Court

Qu'est-ce q'un circuit court ? La définition du Ministère de l'agriculture : Un circuit court est un mode de commercialisation des produits agricoles qui s'exerce soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte à condition...
25 mars 2023

Article sur le transport alimentaire

Circuits courts :  le véritable impact du transport de notre alimentation sur l’environnement 

Transport : des coûts réels pour les circuits courts | Réussir fruits ...

L’agriculture produit beaucoup de gaz carbonique. D'autres facteurs rentrent en jeu comme les engrais azotés et les déjections animales.

Avec l’émission de deux autres gaz que le CO2, le méthane (CH4), 23 fois plus réchauffant que le CO2, et surtout le protoxyde d’azote (N20), 298 fois plus réchauffant. Le premier, qui représente 40 % du total des émissions agricoles. Le second, qui représente la moitié des émissions, est principalement le résultat de la décomposition des engrais azotés et des déjections animales.

Il ne reste que 10 % à charge du gaz carbonique. Il est émis par les tracteurs (labourer 1 hectare consiste à remuer 4 000 tonnes de terre à l’aide de 15 à 40 litres de fuel). Mais aussi dans toutes les transformations EN amont (fabrication des engrais et pesticides). Il faut également compter avec les transports intermédiaires, en particulier les tonnes d’aliments pour animaux déplacés des zones céréalières vers les zones. Pour exemple, le soja que mangent les animaux d’élevage couvre environ 20 millions d’hectares en Amérique, l’équivalent de la surface agricole de la France. Il est entièrement transporté jusqu’à chacune de nos cours de fermes.

En résume, le transport de la ferme à l’assiette  devient presque anecdotique. Même si aux USA il représente des distances importantes vues la taille du pays et la forte spécialisation des zones de production ; il faut 3 200 km pour amener les fruits de Californie à Chicago. 

 

Cependant, le transport de nourriture par avion est une catastrophe écologique. Arrêtons !

 

22 mars 2023

Articles sur les différentes formes de ventes

Quelles sont les formes de vente des circuits courts?

Les circuits courts regroupent un certain nombre de formes de vente. Ces ventes concernent désormais les fruits et légumes mais aussi la viande, le vin, le miel, les conserves (viande et légumes), le pain, etc.

  • Produits alimentaires commercialisés en circuits courts

La définition des circuits courts,correspond à une vente présentant un intermédiaire au plus.

  • Produits alimentaires commercialisés en vente directe

Toute forme de communication concernant les ventes directes de produits agricoles doit correspondre à une remise des produits du producteur au consommateur. Dès lors les produits issus de l’achat-revente ne peuvent être commercialisés dans le cadre d’une vente directe.

  • Points de vente collectifs – magasins de producteurs

Les magasins de producteurs regroupent plusieurs exploitants agricoles dans un point de vente collectif.

 Les producteurs agricoles locaux peuvent se réunir dans des magasins de producteurs afin de commercialiser leurs produits dans le cadre d'un circuit court organisé à l'attention des consommateurs. 

  • Association pour le maintien d’une agriculture paysanne (AMAP)

Les « AMAP » correspond à une démarche entre un groupe de consommateurs et un producteur. Ces associations mettent en place les moyens nécessaires pour permettre la vente de la production : local, heures pour la distribution des produits, etc. Le réseau des AMAP aide les exploitants qui souhaitent des conseils de méthodes de production (rotation des cultures, etc.).

22 mars 2023

Article sur la durabilité des circuits courts

Durabilité des circuits courts : ce que l’on ne sait pas

Ce qu’on ne sait pas

Ce qui interpelle, à la lecture des résultats scientifiques actuel, c’est qu’il est encore impossible de répondre à des questions importantes. Par exemple : quelle est la contribution actuelle des circuits courts à la transition des systèmes alimentaires ? 

D’autres questions se posent: par exemple, pour la crise du Covid, dans quelle mesure ces circuits contribuent-ils à la résilience du système alimentaire ? Comment circuits courts et longs pourraient-ils être complémentaires ? Et, pour les agriculteurs, quel est le meilleur équilibre entre circuits courts et longs pour une taille d’exploitation donnée ? 

La transition des circuits courts

De façon intéressante, nombreux d’entre eux sont des actions que les collectivités locales peuvent intégrer dans leurs politiques alimentaires.

  • Rendre le foncier accessible. En France, par exemple, la terre est le principal obstacle au développement de exploitations de petite taille en circuits courts.
  • Analyser le territoire pour voir s’il constitue un sol favorable au développement des circuits. Les consommateurs potentiels sont-ils là ? 
  • Ouvrir des opportunités de vente directe 

Dans l’ensemble, les circuits courts ne sont peut ètre pas un système alimentaire plus durable, mais ils sont certainement les plus prospère.

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22 mars 2023

Article sur les circuits courts et l'agriculture

Les circuits courts de l’agriculture  

 

Les circuits courts de l’agriculture se portent bien. Plus d’un agriculteur sur cinq (plus de 110 000 exploitations) vendent une partie de leur production en circuit court. La vente directe ne représente que 2% de la distribution alimentaire en France, mais elle est en plein essor.

 

Arrondir les fins de mois

 

La motivation des producteurs de fruits et de légumes, de lait et de fromages, voire de viandes, est très claire : il s’agit d’arrondir des revenus qui sont souvent très serrés. Le revenu moyen d’un agriculteur est officiellement de 2000 euros. En réalité, dans de nombreux cas, notamment dans l’élevage, certains agriculteurs gagnent l’équivalent d’un RSA.

 

Redonner du sens

 

La vente en directe (ou via un seul intermédiaire), est devenue un moyen de survie économique pour l’agriculteur. Le consommateur recherche des produits de qualité et davantage de transparence sur les modes de production. Pour les uns et les autres, cette « nouvelle » forme de distribution permet aussi de de redonner du sens à l’acte d’achat ou de vente des aliments. Malmenés ces dernières années par la grande distribution, les producteurs disent retrouver de la dignité, tandis que les consommateurs mettent un visage ou un nom sur l’origine des produits. Le tout avec une dose agréable de convivialité.

 

Une vingtaine de types de circuits courts

 

Selon l’Inra, on compte une vingtaine de types de circuits courts. On peut citer le plus ancien : la vente directe à la ferme ou sur les marchés. Mais il y aussi l’approvisionnement direct et local des artisans, des cantines et de la restauration collective (trois milliards de repas par an !); les Amap (270 000 adhérents) et autres Jardins de Cocagne; les boutiques de producteurs. Et plus récemment la vente par internet. Cette dernière est favorisée par de nouvelles enseignes telle que La Ruche qui dit Oui (cette plate-forme qui met en contact producteurs et consommateurs compte 112 000 clients), et bien d’autres initiatives moins connues.

 

Le miel, les fruits, les légumes

 

Le miel, les fruits et légumes sont les plus vendus en circuits courts. La vente directe ou semi-directe est surtout pratiquée en Corse, dans les régions du sud, et dans les départements d’outre-mer. Souvent, ces producteurs ont adopté des cahiers des charges bio ou tout au moins, une agriculture durable. La dimension environnementale semble être un point essentiel du circuit court. Une étude européenne (le projet européen Glamur) menée dans 11 pays, a montré que les circuits courts étaient plus performants que les circuits longs, pour ce qui est du bien-être animal et de la préservation des ressources.

22 mars 2023

Article sur l'enjeu des circuits courts

Circuits courts, quel enjeu ?

Les circuits courts alimentaires sont définis comme les circuits de distribution impliquant 0 ou 1 intermédiaire entre le producteur agricole et le consommateur. Ils font partie de la problématique de la révision des modes de production et de consommation, qui est l'un des enjeux du développement durable.
Nombreuses sont les raisons qui poussent les consommateurs à se réapproprier leur alimentation et à chercher des  façons de s’approvisionner en tenant compte de prérogatives environnementales, économiques ou éthiques. De leur côté les producteurs souhaitent valoriser leur production et diversifier leurs circuits de vente en se rapprochant des consommateurs.

Des avantages :
Pour le consommateur :

  • La connaissance des conditions d’élaboration du produit permettant une alimentation de qualité.
  • La filière courte, par définition, réduit la possibilité de contamination des aliments le long de la chaîne alimentaire et facilite le contrôle de la traçabilité des produits.
  • Des produits frais et sains, au rythme des saisons, sans intermédiaires, sans frais d’emballages, de conservation, de transport.
  • Un prix transparent et raisonnable, sans surplus par les intermédiaires.
  • Un lien social.
  • Une démarche cohérente par rapport à la protection de l’environnement.
  • La possibilité pour les citadins de redécouvrir peu à peu les rythmes de la nature, les techniques de travail des agriculteurs et des productions oubliées.

Pour le producteur :

  • Un retour direct sur son produit.
  • Un relationnel gratifiant.
  • Un prix rémunérateur.
  • Un paiement direct.
  • Une réduction de ses coûts de transport.
  • Une possibilité de création d’emploi sur l’exploitation.

Pour l'environnement :

  • Moins de consommation d’énergie et une préservation des traditions.
  • Moins d’emballages, moins de transport. Réduction des déchets, du trafic et de la pollution.
  • Les produits locaux sont au coeur des circuits courts. Les variétés d’espèces, les goûts des terroirs, les recettes et les traditions y sont fortement valorisées.
  • Le respect de la saisonnalité et de la fraîcheur des aliments sont la garantie d’un produit de meilleure qualité.


En résumé : le circuit court est considéré comme un mode de commercialisation des produits agricoles qui se déploie soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte, à condition qu'il n'y ait qu'un seul intermédiaire

18 mars 2023

Article sur les avantges des circuits courts

Circuits courts, quel avantages ?

Les circuits courts alimentaires sont définis comme les circuits de distribution impliquant 0 ou 1 intermédiaire entre le producteur agricole et le consommateur. Ils font partie de la problématique de la révision des modes de production et de consommation, qui est l'un des enjeux du développement durable.
On évoque assez souvent les circuits courts pour les produits agricoles, mais on voit également apparaître cette notion pour la fabrication et la distribution de matériaux (terre, chanvre, ardoise, chaux, carrières locales, etc.) en particulier pour la restauration du patrimoine bâti.
Nombreuses sont les raisons qui poussent les consommateurs à se réapproprier leur alimentation et à chercher des  façons de s’approvisionner en tenant compte de prérogatives environnementales, économiques ou éthiques. De leur côté les producteurs souhaitent valoriser leur production et diversifier leurs circuits de vente en se rapprochant des consommateurs.
En résumé : le circuit court est considéré comme un mode de commercialisation des produits agricoles qui se déploie soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte, à condition qu'il n'y ait qu'un seul intermédiaire.

Des avantages certains !
Pour le consommateur :

  • La connaissance des conditions d’élaboration du produit permettant une alimentation de qualité.
  • La filière courte, par définition, réduit la possibilité de contamination des aliments le long de la chaîne alimentaire et facilite le contrôle de la traçabilité des produits.
  • Des produits frais et sains, au rythme des saisons, sans intermédiaires, sans frais d’emballages, de conservation, de transport.
  • Un prix transparent et raisonnable, sans surplus par les intermédiaires.
  • Un lien social.
  • Une démarche cohérente par rapport à la protection de l’environnement.
  • La possibilité pour les citadins de redécouvrir peu à peu les rythmes de la nature, les techniques de travail des agriculteurs et des productions oubliées.

Pour le producteur :

  • Un retour direct sur son produit.
  • Un relationnel gratifiant.
  • Un prix rémunérateur.
  • Un paiement direct.
  • Une réduction de ses coûts de transport.
  • Une possibilité de création d’emploi sur l’exploitation.

Pour l'environnement :

  • Moins de consommation d’énergie et une préservation des traditions.
  • Moins d’emballages, moins de transport. Réduction des déchets, du trafic et de la pollution.
  • Les produits locaux sont au coeur des circuits courts. Les variétés d’espèces, les goûts des terroirs, les recettes et les traditions y sont fortement valorisées.
  • Le respect de la saisonnalité et de la fraîcheur des aliments sont la garantie d’un produit de meilleure qualité.



18 mars 2023

Article sur le circuit court en ville

Comment favoriser les circuits courts en ville ?

 

 

En matière d’alimentation nous sommes de plus en plus exigeants face à ce que nous consommons. Et les différentes crises sanitaires que nos pays traversent ne vont pas inverser la tendance. Par exemple, en 2019 ce sont 9 Français sur 10 qui ont déclaré avoir mangé bio, les trois-quarts d’entre eux en consomment même de façon régulière. Mais face à la diversité des offres incitant au mieux manger, difficile parfois pour le consommateur de s’y retrouver. Parmi les alternatives à la distribution traditionnelle, le circuit court semble moins bien compris. De plus, la transposition d’un tel modèle en milieu urbain n’est pas toujours aisée

 

 

Le terme circuit court

Si le terme de circuit court est entendu régulièrement, difficile de comprendre ce qu’il renferme réellement. Le circuit court est assimilé au local Le terme court désigne un nombre d’intermédiaires réduitsLe circuit court c’est donc un système de distribution de vente directe du producteur au consommateur ou de vente indirecte mais avec seulement un intermédiaire. Mais force est de constater qu’aujourd’hui ce mode de consommation est peu visible en milieu urbain. La plupart des circuits courts impliquent un mode de distribution contraignant : les horaires sont moins souples que celles des supermarchés et les lieux d’implantation des réseaux de distribution sont parfois éloignés des centres urbains. 

Le circuit court : une ville durable

Le bien manger est aujourd’hui devenu plus qu’un enjeu individuel : c’est un véritable enjeu urbain. Trouver des solutions d’approvisionnement durables est un défi de taille pour les villes. Tout l’intérêt réside dans le fait de concilier les approches courtes et locales. Ainsi, on favorise la consommation et la redistribution à l’échelle d’un territoire,

 

18 mars 2023

Article sur les consommateurs Français

Les consommateurs français adeptes des circuits courts

 

 

En 2020, 64% des consommateurs français ont consommé des produits issus des circuits courts (au moins une fois par mois).

 

 

Pourdebon.com, place de marché en ligne qui propose des produits frais et d'épicerie en direct des producteurs, révèle les résultats d'une étude menée avec l'institut de sondage Kantar sur les habitudes de consommation des français en circuit court. En 2020 avec la pandémie, les circuits courts n'ont jamais été autant plébiscités par les consommateurs. Pour preuve, 30% des répondants ont déclaré avoir acheté des produits en circuit court occasionnellement (au moins une à deux fois par mois) au cours de l'année écoulée.

24% ont acheté souvent (entre 3 et 5 fois par mois) et 11% très souvent (plus de 5 fois par mois). 

C'est chez les 18-24 ans que le score est le plus élevé, ils sont 15% à déclarer avoir acheté très souvent en circuit court.

Pour 82% des répondants les achats de produits en circuit court se font en point de vente physique (à la ferme, en magasin de producteur, chez les artisans, sur les marchés), le 2e moyen le plus utilisé est la commande en ligne avec livraison à domicile (16% des répondants). Ce chiffre monte à 26% pour les répondants de la région Île-de-France. En effet, les franciliens qui achètent des produits en circuit court sont 26% à utiliser une application ou un site internet et se font ensuite livrer à domicile.

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